• Une absence de subventions publiques ou privées : les acteurs du recyclage des mégots de cigarettes (collecteurs, usines, R&D) n’ont aucune aide financière et doivent financer le coût leurs activités (logistique, salaires, recyclage etc.) par eux-mêmes
  • Le positionnement des entreprises de tabac qui refusent la mise en place d’une politique “pollueur-payeur” en qui concerne la valorisation de leurs déchets
  • Une valorisation matière très faible qui ne permet pas de rentabiliser la filière par la seule vente de ses matériaux / objets recyclés